Deathwatch : Saison 2 épisode 1 (Libération d'Adrielle Quist) partie 2

Rapport final de mission

Sergent : Frère Bergen

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A la fin de mon premier rapport, l'Escouade Zephyr était dans le désert, à la recherche de la Compagnie hérétique. Le groupe s'apprêtait à reprendre son chemin quand nous avons senti une présence semblant nous suivre. Se sentant repéré, l'individu sortit de son couvert et se présenta comme un acolyte de l'inquisiteur Eliface, en route pour venir nous rencontrer. Le groupe pestait déjà contre cette perte de temps, mais le statut de l'Inquisiteur ne nous laissait pas le choix.

A son arrivée, ce dernier fut clair et concis : il était à la recherche des Artefacts et il comptait sur notre coopération. L'incompatibilité de sa demande avec les ordres du Capitaine créa un instant de doute sur la conduite à tenir. Face à l'impétuosité de certains membres de l'escouade, je préférai trancher en faveur de la demande d'Eliface et lui indiquer que nous étions d'accord pour coopérer. Nous verrions bien sur place comment gérer cette situation.

En échange de cette collaboration, l'inquisiteur accepta de répondre à quelques unes de nos questions. Il put ainsi nous localiser avec précision la base des GI et nous apporter deux nouvelles informations :

  • ces derniers étaient en possession de prisonniers
  • l'individu qui tirait les ficelles était un Night Lord répondant au nom de Seraf Arsalax.

Cette présence n'était pas sans corroborer ce que nous avions vécu précédemment à l'Astroport de la planète et la présence dans les sous-sols de ce qui pourrait effectivement être un Night Lord, selon les propos de Frère Anselme.

Nous reprîmes donc notre mission en mettant en oeuvre un plan d'action. Avec le soutien à moyenne portée de Frère Adivarius, le reste de l'escouade devait progresser dans le camp. Frère Aegis devait s'occuper des prisonniers, alors que Frères Malion s'occupait de rendre inopérant les éventuels forces blindés stationnés dans les hangars.

De mon côté, soutenu par Frère Helborg, je partais à la recherche du QG.

Alors que ce dernier fut rapidement localisé, Frère Malion nous alerta d'une activité suspecte dans les hangars. Au moment ou Frère Aegis arriva sur place, quelque chose commença à sortir du bâtiment et Frère Malion eut juste le temps de prévenir l'escouade avant de subir une rafale meurtrière.

Le mot "Defiler" raisonnait encore dans mon casque lorsque j'ordonnai à l'escouade de passer à l'action. Les missiles à fragmentation de Frère Adivarius créèrent suffisamment de panique dans le camp pour que nous puissions nous concentrer sur le Char Corrompu. Et bien nous en a fallu, car la puissance de cette entité chaotique dépassait ce que nous avons pu rencontrer jusqu'alors. Il a fallut toute la ténacité et les compétences mises en commun de l'escouade pour venir à bout du lourd blindage, alors que deux des nôtres gisait par terre, fauchés par les armes destructrices.

Heureusement, les dégâts subits par nos frères n'étaient pas irréversibles et nous pûmes les remettre sur pieds. Nous nous sommes ensuite concentré sur le reste de la mission, à savoir éliminer l'hérésie. Et alors que le reste de l'escouade interrogé le Commandant de la garde, que j'avais pris soin de laissé en vie, je me mis à la poursuite des derniers fuyard.

Si bien qu'à cette heure, je peux vous assurer avec quasi certitude qu'aucun élément hérétique n'a pu fuir les lieux. Le Commandant quant à lui nous confirma la présente de Night Lord et indiqua sa localisation.

Quand nous arrivâmes sur les lieux, nous avons trouvé l'Inquisiteur Eliface avec un élément vivant de sa suite. Il n'avait pu arrêter Arsalax, ce dernier s'étant enfui en utilisant semble-t-il un des artefacts Xenos. Il et se tenait cependant près de ce qui semblait être les artefacts Xenos recherchés.

Rapidement, il s'est avéré que l'inquisitrice Quist était emprisonnée dans l'un d'eux. Grâce à la force mentale de notre Psycher, nous pûmes aider l'inquisitrice à se sortir de là.

Nous avons donc le plaisir de vous la ramener saine et sauve, en possession des Artefacts.

Pour l'Empereur.

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