Date : Début du Printemps de l'An 332 (Calendrier de la Cité Franche).
Contexte : le groupe de Guetteurs s'éveille, totalement perdu. Il finit par comprendre que La Caravela s'est brisée sur les Récifs de Raizen, à quelques encablures des côtes de Mibu. Des créatures marines vivant là les ont capturé.
Vous ouvrez les yeux. Quelque chose cloche...
La structure du complexe est un mélange dérangeant d’éléments mécaniques et organiques, traversée par des câbles électriques et des tuyaux déversant des fluides turquoises visqueux et pétillants, relarguant une brume orange à l’odeur soufrée. De la brume blanche nappe le sol en grillage, inapte à masquer ou atténuant l’éclat abrupt des arcs électriques qui se dessinent en contrebas, entre des câbles plongés dans un épais mucus translucide. Un bruit sourd régulier rappelle un coeur qui bat, mêlé à des grésillements en guise de fond sonore.
De manière intermittente, on peut discerner le son de machineries et de vérins à l’oeuvre, ainsi que des plaintes provenant de personnes souffrant mille martyres.
La personnalité se fonde-t-elle sur des souvenirs ou sur l’expérience présente ? Est-ce que vivre, c’est prouver que l’on vit ? Qu’est-ce qui rend un être unique ?
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DRAGONS (D&D5) - Forge du Destin - Journey [02] : Le tatouage
Les membres du groupe, à leur réveil, découvrent d'étranges lépidoptères morts à leur pied. En faisant le compte, il y en a autant que d'aventuriers.
Par ailleurs, chaque Guetteur de Mistad semble marqué dans sa chair. Tous constatent la présence d'un même tatouage géométrique de taille variable et au positionnement aléatoire. Il s'agit d'une représentation d'un polyèdre torsadé.