Date : Automne de l'An 331 (Calendrier de la Cité Franche). 3 semaines après l'assaut sur la villa de Pelée Arather-Calion. Le détachement des Guetteurs de Mistad part sur une piste en lien avec le sombre cristal d'arcane utilisé par le maléficien Pelée Arather-Calion. La puissance du cristal pourrait avoir été utilisée pour neutraliser / faire disparaître un groupe de guetteurs accompagné de Serena Van Kevi. L'étude menée par l'augurat montre que le cristal intègre un fragment d'une roche rare connue du Protecteur Walgrim Trolldrengi : l'Amétrine de Tahenn (une forme rare d'Amétrine)
Cette gemme de quartz était extraite par les mineurs de la Passe de Tahenn (Drakenbergen), une communauté majoritairement composée d'humains, de gnomes et de quelques tieffelins. Les enfants de Xonim semblaient avoir une facilité naturelle pour localiser le minéral, en faisant d'excellents prospecteurs. Le filon, qui n'était pas énorme, s'est progressivement tari. Les mineurs ont finalement fui le secteur précipitamment, il y a environ 30 ans, durant la Guerre de Taurëlma. L'Amétrine de Tahenn dispose d'une très forte affinité avec les sorts de l'école de la Transmutation.
Il faut se méfier du secteur de Moramiek. Une organisation "concurrente" aux Guetteurs, localisée là-bas, était elle-aussi intéressée par les expériences de Pelée. Certains de ses agents étaient descendus à la Cité Franche et s'apprêtaient à approcher Pelée.
- Se connecter ou s'inscrire pour poster un commentaire
Mission dans la Passe de Tahenn
Le détachement de Guetteurs, accompagné de Gilgrita "The Wisdom", devra enquêter sur le sujet (départ pour les Drakenbergen, localisation de la Passe de Tahenn et enquête sur place).
DRAGONS - Descensus - La Main et le Temps
Chers amis, laissez moi vous conter les dessins d’un corps que l’on nommera la Main.
Etrange me direz vous, d’appeler ainsi un corps, alors qu’elle est elle même partie d’un corps.
Mais bon, peu importe, cela me plait et vous verrez, cela vous plaira. J’en suis certain.
Non que je suis devin, juste talentueux.
Qui a dit « et humble » ? Vous ? Bien, ne m’interrompez plus s’il vous plait, même pour des propos aussi justes. Je continue.
Cette main était ainsi, comme la plupart, composée de cinq doigts.
Le Pouce, puissant et large, le plus fort des cinq, il est vrai, mais bien inutile seul. Il prend de son sens et de son expression en se combinant aux quatre autres. Un peu perdu sans eux pour l’orienter.
L’Index, de celui qui pointe et menace, d’un geste sombre et bien souvent inquisiteur. Il a parfois tendance à agir seul, isolé des autres qui se replient en sommeil pendant ce temps. Tout en risquant de se brûler fortement, à trop toucher au feu.
Vient ensuite le Majeur. Le plus grand, celui dont la tête dépasse des autres de sa prestance lorsqu’il se dresse. Il est le cœur du groupe, pivot incontestable. Il est aussi, par moment, si on le laisse un peu trop seul, l’expression d’une certaine colère et d’un emportement. Jusqu’à en perdre le nord… Et sa géographie de façon générale.
L’avant dernier de nos compères est l’Annulaire. Le plus sage. Celui à qui on livre l’anneau, symbole de fidélité, stabilité et confiance. Il n’est pas du genre à se mettre en avant, mais sans lui, point d’équilibre.
Et pour finir le plus petit, l’Auriculaire, bien insignifiant et souvent, dont on ne sait guère quel est l’usage voire l’utilité. Mais méfiez vous des apparences, car de ce petit doigt ne dit-on pas, c’est celui ci qui vous le dit, justement.
Cette main, fraîchement composée, se devait de remonter bien au dessus de l’endroit où se trouvait la tête qui la missionnait.
Elle n’avait pas vraiment l’habitude de monter si haut, mais elle était pleine de bonne volonté.
A noter que par sécurité, la Tête ne laissa guère la Main fureter sans guide. Elle l’accompagna d’une Oreille bienveillante, discrète, mais bien présente.
Après quelques jours de voyage, la Main et l’Oreille rencontrèrent une petite compagnie nomade fort sympathique. La Main, un peu moite du fait d’une météo capricieuse, quémanda un endroit chaud et confortable pour se glisser. Mesdames, je vois que vous rougissez, mais ne vous méprenez pas du sens de ma prose.
Accueil généreux fut ainsi fait, les Nomades serrant la main contre leur cœur en toute amitié.
Après repas, boisson, chants et musique, la Main put ainsi s’endormir… A poing fermé.
Au petit matin, riche de cette rencontre, la main reprit sa route.
Cette soirée ne fut pas dénuée d’intérêt, car en plus de les avoir bien reposés, au cours de celle-ci, l’Auriculaire avait entrepris une des Nomades qui lui confia sa tristesse du moment : la fuite de sa sœur vers un destin qu’elle craignait funeste. L’Auriculaire se le promit, ainsi qu’à la Dame, il tendra l’oreille sur cette soeurette que l’on nommera Ailiriz.
Notre main arriva à destination. Un Val isolé vide de construction, si ce n’était cette Tour, se dressant au milieu d’une plaine entourée par les eaux d’une tumultueuse rivière.
L’Index, comme souvent, décida de se dresser seul face à cette destination et entreprit de se rendre sur les lieux, manqua d’être avalé par les marais, puis noyé par la rivière pour au final attendre en séchant que les autres doigts fassent le tour par un guet, les pieds bien au sec.
Mais là encore l’Index ne put attendre et mit le doigt sur un os. Un os qui s’avérait être un orc et qui faillit couper l’Index de la Main pourtant encore si jeune.
Fort heureusement, le reste de la Main arriva à point nommé, et abattit son Majeur, son Pouce et son Auriculaire sur l’agresseur, alors que l’Annulaire se portait au secours de l’Index.
L’Index redressé, la Main put ainsi descendre dans les entrailles de la tour, attirée par un cri qui n’annonçait pas bon présage.
Mais la main n’avait pas peur d’être prise dans le sac et finit par découvrir la source du trouble : un énorme morceau de Cristal bien trop rose pour être honnête.
L’Auriculaire, n’écoutant que son courage, partit devant, l’esprit aventureux et la flûte au bec.
Il disparut soudainement, manu militari.
Trop inquiets d’être ainsi séparés du dernier, les quatre autres se jetèrent en avant et disparurent tout autant.
Ils se retrouvèrent tous cinq projetés dans un endroit qui était bien le leur, mais clairement en un temps qui ne l’était pas.
Tous en étaient bouleversés, et surtout l’Annulaire qui avait perdu de son équilibre et avait les jointures qui lâchaient…
Il fallait trouver un lieu pour poser la Main, et les fumerolles qui poussaient au dessus du bosquet au sud ouest, étaient une invitation bienvenue.
En les suivant, ils arrivèrent aux portes d’un petit village fortifié.
L’accueil fut un peu froid, sans doute à cause de l’Index inquisiteur tendu vers le vieil homme à la pipe qui servait de chef local.
L’homme, un rôdeur étrange, expliqua cependant que les lieux étaient sous la coupe d’une colonie d’Orcs dont la description remontait… A plus de mille ans en arrière.
Cette fois La Main pouvait se mettre à couper, ils étaient bien dans le passé, et bien loin en arrière.
Alors qu’ils discutaient, se passa deux événements :
L’un qui parut bien intriguant, à savoir la sensation d’impulsions magiques en provenance de la Tour.
Impulsions qui firent échos dans le sac du Rôdeur, ce qui le rendit encore plus louche aux yeux de l’Index, qui ne cessait donc de le pointer. Il aurait bien mis la main dans la sacoche, si les autres doigts de la Main y avaient été enclins aussi. Mais cela n’aurait pas été très cordial.
L’autre événement parut plus décalé, au début du moins, dans ce contexte tendu. Il était mené par un Auriculaire qui louvoyait dans le village, au son de sa flûte, charmant un public ravi et quelques cœurs féminins qui se seraient bien offerts à notre Doigt, rubis sur l’ongle…
Mais les pensées de ce dernier étaient ailleurs, attirées par la silhouette qu’il avait entraperçue alitée dans une des chaumières. Une silhouette qui ressemblait beaucoup à la description de la soeurette en péril, Ailiriz. Les gémissements de souffrance qu’il avait entendu n’était pas dus à son imagination, la dame était bien installée dans ce village, de grès ou de force.
La Main quitta donc les lieux afin de pouvoir échanger librement sur ces découvertes et trouver une solution à leur situation délicate.
Ce qui leur permit de découvrir autre chose : ils avaient à nouveau changé d’époque, comme en témoignait le château de la colline, quitté précédemment. Enfin, comme il n’en témoignait plus d’ailleurs, puisqu’il n’était plus là !
Ce jeu de saute-saison aller finir par faire baisser les bras à la Main. D’autant que l’Annulaire, qui n’était pas à l’aise dans son gant depuis le début de leur escapade temporelle, rappelons le, montrait de plus en plus des signes d’affaiblissement. Au point de sombrer dans l’inconscience.
Un signe d’affaiblissement suffisamment extrême pour motiver nos amis à retourner au village et tenter d’y obtenir de l’aide.
Après des échanges malheureux et maladroits, la Main n’ayant pas pointé les bons doigts pour amadouer le Rôdeur, les portes furent cependant ouvertes.
La Main devait cela à la bonté de la Soeurette, Ailiriz, car c’était bien elle qui se trouvait là, et qui apparemment, n’y était pas prisonnière.
Pendant que l’on soignait le pauvre Annulaire, Ailiriz leur apporta une explication bienvenue sur ce qu’ils vivaient et sur la façon d’en sortir : un artefact magique était la clé de cette histoire, un objet puissant qui pourrait leur permettre de revenir dans leur temps.
La mauvaise nouvelle, c’est qu’il était actuellement brisé, comme prouvait d’ailleurs l’existence d’un des éclats, dans la besace du Rôdeur à la Pipe. L’Index avait eu du nez.
Il fallait donc retrouver les autres éclats pour reconstituer l’Artefact.
L’Auriculaire émit une hypothèse : ces éclats semblait empêcher leurs alentours directs de sauter dans le temps. Il fallait trouver des lieux qui n’avaient pas changé récemment et y chercher ces éclats.
Et ils avaient une première piste : un campement au milieu de la forêt qu’ils avaient aperçu avant, et après le dernier saut. Car à moins d’aimer particulièrement le confort tout relatif de la nuit sous la tente, il n’y avait pas de raison que ce campement perdure pendant quelques siècles…
Voilà notre Main à nouveau parti sur les routes, pressée d’atteindre les lieux, de crainte que le prochain saut ne se produise, et qu’ils voyagent à nouveau dans le temps, en perdant de ce fait la trace du village, de la Soeurette, du Rôdeur et de sa Pipe !
Une mauvaise rencontre « face à deux têtes d’une créature mal embouchée » plus tard, nos cinq doigts se trouvèrent à proximité du campement.
Le Majeur, de toute sa splendeur, s’approcha de deux Chevaliers montés sur leurs Grands Chevaux pour tenter de pénétrer dans les lieux.
Il passa le test, consistant à ne pas prendre un coup de la grande épée d’un des Paladins sur la tête, avec brio et désinvolture, persuadant ainsi les deux illuminés que notre Majeur était un élu et qu’il méritait d’être présenté à l’Illuminée en chef.
Tout commençait bien et le reste de la Main se tourna donc le Pouce en attendant.
Pouce qui ne tourna pas longtemps, car il entendit le son d’autres Pouces dans la Forêt.
La discussion entre Pouces commença, à base de Zog, Zog Zog et Zwobou.
Le Pouce se rapprocha des autres doigts et leur traduisit que les Orcs qu’il venait de rencontrer étaient sur le point de s’inviter dans le campement des Illuminés.
Il leur fallait juste un plan.
Et c’est le Majeur qui, brave doigt parmi les braves, leur fit cet honneur.
Ce dernier, alors qu’il avait mené brillamment la discussion avec l’Illuminée en Chef, finit par mettre le doigt là où il ne fallait pas. Il avait remarqué que la Paladin disposait d’un écrin dans lequel se trouvait, apparemment, un des éclats recherchés.
Et plutôt que de mettre son doigt sur sa bouche (au Majeur, pas à la Paladin), il le pointa sur le tube en question, demandant innocemment l’origine de cet objet.
Innocence qui se transforma rapidement en culpabilité, le Majeur se trouvant à deux doigt d’être exécuté, non sans avoir été au préalable attaché à un arbre majestueux et avoir subit quelques tortures.
La Cheffe Orc trouva la situation des plus idéales. Point sur lequel notre ami le Majeur n’aurait peut être pas été totalement d’accord.
Elle proposa d’intervenir une fois que la majorité du Campement Illuminé serait en train de faire souffrir avec plaisir leur nouvel espion désigné.
A la première cheville brisée, l’Auriculaire tenta de faire considérer à l’Orc qu’il serait peut être temps d’intervenir. Ce qu’elle ne consentit pas.
A la deuxième cheville brisée, l’Auriculaire intervint à nouveau pour son ami. Faisant signifier à Zog Zog Chef que son ami n’avait plus de Cheville.
Elle dit qu’elle ne voyait pas le rapport, et attendit qu’un autre coup fut porté sur une autre zone du Majeur et que celui-ci plia, pour décider de lancer ses orcs dans la mêlée.
La Main mit alors les doigts dans l’engrenage de la violence et du carnage.
Vous savez ce que c’est, le fracas des combats, je ne vous ferai pas de dessin.
Pointons plutôt du doigt les actions rondement menées par la Main.
Alors que le Pouce faisait de la place, l’Auriculaire et l’Annulaire allèrent détacher le Majeur.
Le Majeur pointa alors le Donjon de bois du campement en signifiant que quelque chose d’intéressant s’y trouvait. Ce n’était pas une très bonne idée, aussi, les autres doigts se dirigèrent donc là bas.
Le combat fut rude pour y pénétrer mais la Main tomba sur un trésor composé de coffres chargés de pièces d’or et de gemmes.
La Main moins un Doigt, car l’Index de son côté, semblait mû par une volonté hors de lui : exécuter la Cheffe Illuminée.
Ce qu’il fit brillamment, soyons francs. Récupérant ainsi l’éclat de la Paladin, alors que nos autres compères négociaient le butin contre l’éclat que possédait la Cheffe Orc.
Sur le chemin du retour, une nouvelle impulsion se manifesta. Cette fois, les choses prirent une tournure particulière.
Ils aperçurent alors la silhouette d’une créature immense, postée non loin de l’endroit où se trouvait la tour (qui était à nouveau là d’ailleurs), tenant dans la main une orbe verte.
La créature, qui n’avait pas l’air commode, passa ses nerfs sur la sphère qui se brisa dans sa main.
La Main se ferma sur elle même, sombrant dans l’inconscience.
A son réveil, le Monde tanguait comme une jeune première à son premier bal et ce ne fut pas sans conséquence sur notre Main. Le Pouce tenta de se lever et se fracassa la tête sur un arbre. Le Majeur tenta l’approche en de belles roulades aussi esthétiques qu’aléatoires et provoqua l’effondrement d’un arbre, alors que l’Annulaire, qui semblait réussir à retrouver son équilibre, fut balayé par une pierre jeté brutalement et de façon tout à fait gratuite, vous le concevrez, par un Géant qui devait débuter au golf.
Vous ne connaissez pas ce jeu ? Peu importe, là n’est pas le propos.
L’Auriculaire, lui décida que la position allongée était pour le moment la meilleure option, d’autant qu’il était attiré par une scène qui se jouait non loin de lui, sans être vraiment là, il le savait.
Dans celle-ci échangeaient deux femmes qu’il connaissait et reconnaissait. La première était Ailiriz, toujours la Soeurette, la deuxième une notable avec laquelle lui et le Majeur avait eu de légers problèmes d’incompréhension quelques semaines auparavant.
Il ne pouvait donc pas oublier celle-ci. Et inversement.
Les deux femmes discutaient autour d’un dessin qui représentait l’Artefact que la Main tentait de reconstituer alors. Et au moment où cette vision disparaissait, l’Auriculaire vit alors la Notable sortir des plis de son habit, un morceau de cristal beaucoup trop rose pour être honnête…
Alors que l’Auriculaire était à sa contemplation, l’Index de son côté eut l’idée de sortir l’Eclat dont il disposait pour tenter de stabiliser la situation.
Très bonne idée, puisque le Monde cessa de tanguer, les jeunes premières rentrèrent chez elles, minuit, le bal est fini.
Mais il se mit en tête d’aller chercher le deuxième Eclat, au fond du sac du Majeur qui était lui même, rappelons le, au fond des frondaisons d’un beau chêne qui s’était affalé sur lui.
Notez que le Majeur et les arbres pourraient faire un bon début de chanson. Peut être pour plus tard.
Une fois le Majeur et son Eclat extraits des branchages, l’Index se mit dans l’idée de s’en emparer.
Mauvaise idée. Les deux Eclats entrèrent en résonance.
L’Index se figea alors, dressé de tout son long et commença à prendre une teinte bien trop verte.
En quelques instant, le temps d’un claquement de doigt dirait-on, l’Index se retrouva changé en statue de Pierre Précieuse. Doigt d’Emeraude, tendu vers le ciel, pour la postérité.
Le Majeur et l’Auriculaire, en fin connaisseurs, apprécièrent tout de suite la valeur de la chose. Dans tous les sens du terme. Mais la problématique était le poids que faisait désormais leur ami.
Ils durent se résigner à se séparer de lui, pour un temps, et à aller à nouveau quérir de l’aide au village, espérant qu’il était toujours à l’endroit où il était.
Mais en lieu et place du village, n’étaient que ruine, au milieu desquelles avaient poussé quelques tentes d’un groupe récemment installés.
Au sein de ce groupe, ils reconnurent le Vieux Rôdeur, sa Pipe, et un Merosi, Cuisinier de son état, qu’ils avaient côtoyé ce fameux soir humide où ils avaient rencontré les Nomades.
Aucune raison de s’inquiéter de la situation, et de la gamelle que ce dernier offrit à la Main.
Aucune raison non plus de se méfier du Rôdeur, heureux de les retrouver, même si de traces des autres Nomades du groupe il n’y avait pas et même si ce Rôdeur leur tenait des propos teintés de quelques incohérences.
De toute façon, il était trop tard. Les écuelles étaient vidées et déjà le poison faisait son effet.
La Main promit à l’avenir d’être plus méfiante. Cela se voyait d’ailleurs que l’Index n’était pas là, il aurait été plus inquisiteur face au Vieil homme et à sa Pipe.
Un Vieil Homme qui présentait ses excuses, alors que la Main se refermait sur elle même, s’endormant à jamais, à poing fermé.
DRAGONS (D&D5) - Descendus - Journey [01] : Le Choix
A la suite de la Chronocatastrophe, le groupe de Guetteurs fait le choix de partir pour l'ancienne cité universitaire de Griseflore, en Cyrillane, une ville située dans les plaines entre Limnypogéïa et Kratéïra. Il y a peut-être là-bas le moyen d'en savoir plus sur l'Orbe d'Hrysantheis et ses échardes.
Le groupe part avec les roulottes et les buffles laissés par la "Caravane des Cornus" (famille Scorpiria).
Gilgrita "The Wisdom", marquée par les évènements de la Passe de Tahenn décide quant à elle de rentrer rapidement à la Cité Franche pour faire son rapport à Azra The Wheeler.